lundi 29 août 2011

Tribulations de Winnipeg

27 août

Le départ pour Winnipeg se fait dans la confusion la plus totale de notre «pôvre» Germaine. Une chance qu’elle nous a pour lui aider à retrouver son chemin. Elle doit faire du surmenage ; imaginez, près de 20 000 kms. ! On a abusé d’elle, c’est certain !
En ce qui concerne Winnipeg, je ne me souvenais pas comme cette ville est étendue et a peu de buildings en hauteur. L’année passée nous l’avions visité un peu, on voulait faire du vélo, mais comme nous étions tôt dans la saison, la piste était recouverte d’eau à plusieurs endroits. Cette année, trop paresseux pour se reprendre. Nous y avions bien aimé la Fourche, St-Boniface et leur musée.


Nous prenons le même camping que l’année passée, de vrais habitués de Winnipeg, je vous le dis.

Encore une histoire de blog : ce matin, à notre dernière page, encore sur la finition, juste quelques petits détails à fignoler, l’ordi s’est éteint de lui-même… Outch !
À un passage à niveau, un train d’une longueur infini nous fait attendre peu de temps après le mauvais tour de l’ordinateur…Re outch ! 150 wagons, Yves les a comptés. Ici, les locomotives peuvent bien tirer 2 kms. de long, le terrain est tellement plat, aucun effort, seulement pour se partir !


Journée de lavage, peut-être le dernier avant le retour ; mais il y a des morceaux que je n’aime pas mettre dans la sécheuse, le linge délicat et léger. J’ai eu le malheur d’accrocher Gertrude à une branche d’arbre pour mes trois petits morceaux, lorsqu’une dame assise dans une voiturette de golf arrive sur deux roues et commence à nous d’une façon tellement bête, sur le même ton qu’on chicane un enfant qui a fait un très mauvais coup. Aussi délicate qu’un bulldozer dans une roseraie…
Pas le droit de mettre du linge là, casser les branches, bla bla bla, elle se rassoit dans son kart, en lançant un :« Absolutely not !» et repart en trombe comme elle était arrivée. Le plus choquant dans tout ça, c’est que la surprise nous a empêchés de réagir. Car
 « monsieur » quand il veut faire « simple» dit qu’il parle français, qu’il ne comprend pas et de parler plus lentement. Essayez ça dans un magasin en y mettant tout votre accent quand vous voulez juste regarder, ça fonctionne à tout coup, je vous le dis ! On aurait bien aimé lui jouer ce tour-là à Madame Pitbull.
Que ça fait du bien de se défouler sur les autres !!!

Ps: Gertrude c'est une pieuvre en plastique bleue pour suspendre le linge.

1 commentaire:

  1. Je crois que votre laptop surchauffe. Peut-être parce que vous le mettez sur vos cuisses et que ça bloque l'entrée d'air ou bedon le ventilateur interne est foutu. Dans les deux cas, la surchauffe cause l'arrêt pour ne pas bousiller le tout.

    RépondreSupprimer