2 juillet
Un matin pas pressé, car c’est presqu’à regret que nous quittons ce camping. Le beau temps tient bien le coup, ce qui aide à partir.
Le paysage continue de nous émerveiller, mais en cadeau, les animaux sortent de leur forêt pour nous dire un beau bonjour.
Arrêt pour laisser passer le petit à 15 pieds devant nous |
Et eux aussi !
Et encore !
On n’en revient pas.
J’aurais bien aimé photographier le grizzly mais la vision a été trop courte, peut-être un autre jour. Il y avait des avertissements de faire attention aux caribous et aux orignaux, mais nous n’en avons pas vus.
Changement de province à 15 :30 heures, voici le Yukon. Arrêt comme il se doit à l’info touristique et nous repartons vers Watson Lake.
Comme des animaux ont laissé des traces de digestion le long de la route, on se dit qu’on devrait bien voir apparaître peut-être encore des bisons, erreur… les preuves viennent d’un troupeau de chevaux sauvages, que nous n’avons évidemment pas eu le temps de mettre sous pellicule, quel dommage !
En prime le décor |
Watson Lake se trouve sur le 60e parallèle nord, ce qui veut dire, pour l’est canadien, la pointe extrême du Groenland… une chance que c’est moins froid par ici ! Environ 8-11 degrés la nuit et le jour, ça peut varier de 9 à 20C si on est très chanceux.
Il se trouve un beau musée à cet endroit. On y parle de la Nasa , des astronautes, de leur entraînement, de l’effet de l’apesanteur sur leur corps. Deux films y sont présentés. Le premier, présenté sur le plafond en 360 degrés et 3 dimensions sur ce sujet dans la station spatiale et hors de la station sur le bras canadien, avec la terre en arrière plan ou la voie lactée. Le 2ième film présente les aurores boréales, le pourquoi, le comment et un grand échantillon d’aurores boréales. Le tout dure environ 45 min. mais ça passe très vite.
Il existe à Watson Lake, une forêt d’insignes apportés de partout en Amérique et même d’Europe ; il y a maintenant plus de 70,000 insignes de toutes sortes, allant de plaques d’immatriculation, en passant par des noms de rues, etc. etc.
Voilà pour Watson Lake. Le camping est dans la ville, c’est plutôt un parking, mais on nous reçoit avec bonne humeur. Un parc et un lac nous attendent tout près.
Vous êtes vraiment sur les traces de l'oncle Gaby qui était à Seward hier (le 6).
RépondreSupprimerPour les bisons, ce sont des Wood Buffalos, plus gros que ceux des Prairies.